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  • Flow domain and catchment boudaries. Example used in: Thomas Z., Rousseau-Gueutin P., Kolbe T., Abbott B.W., Marçais J., Peiffer S., Frei S., Bishop K., Pichelin P. , Pinay G., J.R. de Dreuzy, Constitution of a catchment virtual observatory for sharing flow and transport models outputs, Journal of Hydrology, Available online 5 May 2016, ISSN 0022-1694, http://dx.doi.org/10.1016/j.jhydrol.2016.04.067.

  • L’entité bocagère de la Zone Atelier Armorique (ZAAR) est située au niveau du canton de Pleine-Fougères (depuis 1993). La zone bocagère est caractérisée par un gradient paysager allant d’un bocage dense avec des parcelles petites bordées de haies à un bocage lâche. Les haies bordant les parcelles sont le plus souvent constituées d’arbres émondés en ragosses, de chênes avec parfois quelques châtaigniers émondés et des chênes en haut jet, mais aussi de cépées de châtaigniers. Depuis 2005, en raison de l’introduction de conditions de protection de l’environnement dans la Politique Agricole Commune, la plupart des cours d’eau sont bordés de bandes enherbées.

  • Le projet Mh est un projet de Recherche et Développement dont les objectifs sont (i) de hiérarchiser les déterminants de la minéralisation de l’azote des matières organiques humifiées du sol (MOS) (climat, sol, pratiques culturales), et (ii) d’améliorer in fine la prévision de la minéralisation de l’azote des MOS dans les outils de raisonnement de la fertilisation. Ce projet de recherche-développement s’inscrit dans le cadre de la reconquête de la qualité de l’eau en Bretagne, et il est financé par l’Agence de l’Eau Loire Bretagne (AELB), le Conseil Régional de Bretagne, les Conseils Généraux du Finistère, des Côtes d’Armor et du Morbihan et la DRAAF. La coordination du programme est assurée par l’AELB, sa maîtrise d’œuvre par la Chambre Régionale d’Agriculture de Bretagne (CRAB), et sa conduite scientifique par l’INRA UMR SAS. Le projet est fondé sur un réseau de 141 parcelles réparties sur l’ensemble de la Bretagne, et a été suivi pendant 5 ans, de 2010 à fin 2014. La minéralisation a été quantifiée par la mesure des composantes du bilan azoté d’une culture de maïs non fertilisée (rendement et N absorbé par la culture, quantités de N minéral du sol au printemps et à l’automne, lixiviation estimée par approche modèle (STICS)). Une importante base de données sur les sols a été constituée pour expliquer la variabilité de la minéralisation, avec des mesures physiques, chimiques, biologiques et en spectroscopie infra rouge.