UMR 1069 SAS INRA - Agrocampus Ouest
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La couche bathymétrie LIDAR-retenue de la Roche qui Boit, représente la bathymétrie de la retenue réalisée par EDF à l'aide d'un LIDAR bathymétrique en 2011.
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La couche point de mesure represente la position geographique des stations de mesure physico-chimique et limnimetrique sur le bassin versant de la Sélune. Ces stations ont été installées dans le cadre du programme scientifique de suivi de l’arasement des barrages de la Sélune.
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La couche bathymétrie LIDAR-retenue de Vezins, représente la bathymétrie de la retenue réalisée par EDF à l'aide d'un LIDAR bathymétrique en 2011.
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L’ouverture des barrages va considérablement impacter le fonctionnement des populations de truites de la Sélune. Le rétablissement de la continuité écologique du fleuve modifiera les flux populationnels en autorisant la remontée plus en amont des truites de mer amphihalines et le déplacement des truites autochtones en aval et en amont des barrages. La population de truites est suivie sur un réseau de stations couvrant l’ensemble du bassin de la Sélune à l'aide d'un indice d’abondance, qui est effectué tous les 2 ans. Les campagnes de terrain respectent le protocole de pêche Vigitruite®, mis au point à l’INRAE et destiné à être utilisé partout en France. Cet indice d’abondance, rapporté à la superficie d’habitats favorables sur le cours d’eau permet d’évaluer la quantité de truitelles présentes dans la rivière, issues de la reproduction naturelle des années passées. Les campagnes de terrain sont assurées par INRAE et la Fédération d'Ille-et-Vilaine pour la Pêche et la Protection du Milieu Aquatique (FDAPPMA35) Cette couche donne les localisations de ces secteurs d'étude selon l'année d'étude : 2012, 2014, 2018, 2020, 2022 et 2024.
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En partenariat avec l’ANR Reppaval, le Syndicat Mixte du bassin de la Sélune a débuté la mise en œuvre d’un observatoire photographique des paysages du bassin de la Sélune. Il s’agit d’un itinéraire photographique composé de points de vue répartis sur l’ensemble du territoire où des clichés seront repris régulièrement. L’objectif est de suivre les transformations du paysage sur le territoire, en particulier en lien avec l’opération de restauration de la Sélune. La couche donne la localisation des sites de l’itinéraire photographique directement concernés par les travaux de restauration de la Sélune : les lacs, les barrages.
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L’effacement des barrages de la Sélune fait l’objet d’un programme scientifique initié en 2012 dans lequel des paramètres environnementaux sont suivis afin de fournir un réel retour d’expérience sur cette opération de restauration. En 2019 s’est mis en place un observatoire de données, chargé d’assurer la collecte et le traitement de ces paramètres (biotiques et abiotiques). Avec l’arasement du barrage de La Roche Qui Boit (LRQB), il est vraisemblable que les sables, qui sont actuellement stoppés par le barrage, poursuivront leur transit vers l’aval. Afin de quantifier le mode de transit des sables nous allons suivre la granulométrie et la progression des sables à l’aval de LRQB à différents endroits. Des pièges à sédiment sont positionnés pour analyser l’évolution des tailles des sables suivant la distance au barrage de LRQB. L’objectif de ces pièges est de suivre l’évolution de la granulométrie charriée par le cours d’eau, et de rendre compte d’une possible évolution granulométrique des sédiments, avec l’apparition de sables transportés à l’aval des barrages. Ces dispositifs ne consistent pas à quantifier les flux sédimentaires avec plus de précision. Cette couche donne la localisation des secteurs d'étude utilisés dans le suivi du transport des sables, réalisé dans le cadre de l'Observatoire Sélune.
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Les frayères de lamproie marine Petromyzon marinus sont localisées dans le cadre de l'Observatoire Sélune. Cette espèce étant migratrice, sa colonisation de la Sélune et de ses affluents sera probablement influencée par l'effacement des barrages de la Sélune. Les frayères se caractérisent par une dépression accompagnée d’un dôme d’éjection sédimentaire immédiatement en aval. Les pierres retournées sur le dôme sont plus claires ce qui rend les nids facilement visibles et identifiables jusqu’à plusieurs semaines après le frai. Cette données est disponibles pour les années 2015, 2019, 2020, 2021, 2022, 2023, 2024 et 2025. Les rapports d'activité de l'observatoire Sélune (cf. liens ci-joints) donnent des précisions quant aux conditions de prospection.
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L’ouverture des barrages va considérablement impacter le fonctionnement des populations de truites de la Sélune. Le rétablissement de la continuité écologique du fleuve modifiera les flux populationnels en autorisant la remontée plus en amont des truites de mer amphihalines et le déplacement des truites autochtones en aval et en amont des barrages. La population de truites est suivie sur un réseau de stations couvrant l’ensemble du bassin de la Sélune à l'aide d'un indice d’abondance, qui est effectué tous les 2 ans. Les campagnes de terrain respectent le protocole de pêche Vigitruite®, mis au point à l’INRA et destiné à être utilisé partout en France. Cet indice d’abondance, rapporté à la superficie d’habitats favorables sur le cours d’eau permet d’évaluer la quantité de truitelles présentes dans la rivière, issues de la reproduction naturelle des années passées. Ce tableau donne les données individuelles sur les truites capturées selon l'année d'étude.
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En 2020 ont été mises en place des placettes scientifiques, matérialisées sur le terrain par des piquets colorés. Ces placettes ont pour objectif de faciliter le suivi scientifique, notamment de la renaturation. Ces placettes représentent des espaces privilégiés pour les scientifiques, où aucun remaniement de sédiments ou de la végétation n'est prévu jusqu'à la fin du programme Sélune.
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L’effacement des barrages de la Sélune fait l’objet d’un programme scientifique initié en 2012 dans lequel des paramètres environnementaux sont suivis afin de fournir un réel retour d’expérience sur cette opération de restauration. En 2019 s’est mis en place un observatoire de données, chargé d’assurer la collecte et le traitement de ces paramètres (biotiques et abiotiques). Les données acquises à partir de 2012 et au moins jusqu’en 2027, seront centralisées grâce à un système d’information (SI), appelé SISelune. SISelune vise à aider les scientifiques associés au programme Sélune et à rendre les données accessibles à tous. Les cours d'eau sont des entités hydrographique linéaires, liés à un toponyme principal, et décomposés en tronçons hydrographiques. Ces cours d'eau sont extraits de la BD Topage sur l'emprise de la zone d'étude. Des codes, utilisables dans le cadre du programme Sélune ont été ajoutés, ainsi que les codes issus de l'ancien référentiel hydrographique (BD Carthage).